La transformation de ce quai en lieu de mémoire et de recherche entraîne très symboliquement le visiteur dans les strates de la gare. Les architectes se sont attachés à mettre à nu la structure existante (1912, Ulisse Stacchini), de puissantes colonnes et poutres de béton qui soutiennent le réseau ferré à l’air libre. C’est dans cet univers tout en matérialité que le mot « Indifferenza » saute aux yeux, douze lettres à grande échelle gravées dans une couche métallique habillant le béton.
Mémorial de la Shoah, Gare centrale, Milan : 2002-2014
Morpurgo, Guido;
2015-01-01
Abstract
La transformation de ce quai en lieu de mémoire et de recherche entraîne très symboliquement le visiteur dans les strates de la gare. Les architectes se sont attachés à mettre à nu la structure existante (1912, Ulisse Stacchini), de puissantes colonnes et poutres de béton qui soutiennent le réseau ferré à l’air libre. C’est dans cet univers tout en matérialité que le mot « Indifferenza » saute aux yeux, douze lettres à grande échelle gravées dans une couche métallique habillant le béton.File in questo prodotto:
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